« Après trente ans de partenariat avec un village du Tuy au Burkina-Faso, le temps de relater semble venu. Mes notes de voyage, mémoires hétéroclites, parfois gribouillés à la hâte dans les trépidations d’une piste, gardent la mémoire des rencontres, des lectures sous un manguier, des idées de l’instant. Que reste-t-il de ces écrits, de ces livres et ces articles de presse, de l’action et l’évaluation de projets ? Des doutes, des vérités, des certitudes. »
L’eau de l’étranger, écrit à partir de carnets de voyages, propose une découverte d’une culture et de mœurs africaines mais aussi une réflexion sur l’engagement humanitaire et l’aide au développement et nous invite à interroger nos convictions, nos pratiques.