La première représentation du spectacle « les temps qui courent », conte théâtral de Bernadette Bidaude, était consacrée à la ville d’Oradour sur glane et à la maternité Suisse d’Elne. Ces deux contes ont ému le spectateur par la dureté des situations endurées par les survivants de la ville d’Oradour, et le courage inflexible d’Elizabeth Eidenbenz pour la maternité d’Elne.
Les deux histoires pourraient être des fables. En effet, les sujets ne sont pas simples à aborder mais la « morale » est explicite et donne à réfléchir. De plus, la plume et la prestation de Bernadette Bidaude nous transportent avec ces détails, ces chansons et son trait d’humour. Soit un mélange équilibré entre la réalité et l’imagination d’un conte.
Plutôt pour les grands que pour les petits, ces contes émouvants retracent avant tout des histoires humaines et un message d’espoir.
En résumé, "Dans toutes les larmes s'attarde un espoir" Simone de Beauvoir.
Article - Rémi Parvole - Volontaire Service Civique
Parution : 15/10/2014